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Le blog de MARIE DUVAL écrivain-cinéaste passionnée par l'humain ET.. la botanique
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PETIT MANUEL DE SURVIE - ca peut toujours servir !

 

FATIGUE CHRONIQUE, MALADIES AUTOIMMUNES,

ERRANCE MÉDICALE, IMMUNODÉPRESSION...

 

ET SI C'ÉTAIT LA MALADIE DE LYME ?

 

PETIT MANUEL

DE SURVIE

POUR LYMÉS

 

j'ai eu à coeur de transmettre ce document exceptionnel pour les gens qui souffrent (parfois sans le savoir) de la maladie de Lyme.

.. Ceux intéressés peuvent me laisser un message car la retranscription ci-dessous est incomplète et copie d'un pdf (donc difficile à lire). 

 

Dès que j'aurai un peu plus de temps, je vous transmettrai ainsi en privé par mail le document "propre" et en intégralité, le cas échéant. 
 

 

 

Avertissement et introduction :

Ce petit ouvrage de synth.se sur la maladie de Lyme est le fruit de plusieurs ann.es de recherche en

laboratoire, d'exp.rimentations personnelles et d'essais cliniques en Inde sur des personnes atteintes

de la borr.liose de Lyme . des stades divers.

Cet ouvrage purement informatif ne contient ni prescription ni diagnostic, les traitements et

conseils mentionnés peuvent ne pas être adaptés à votre cas et présenter des contre-indications

et des effets indésirables; ils doivent être pris après diagnostic, sous contrôle médical et sous la

responsabilité des malades.

La plupart des d.couvertes scientifiques mentionn.es ici ont .t. faites lors d'examens sur sang frais

(donc vivant) en microscopie optique (pas de frottis ni de centrifugation), en utilisant un condenseur

particulier et un colorant sp.cial, fruit des recherches personnelles de l'auteur, un lym. gu.ri par son

propre protocole NTZ d.crit dans cet ouvrage, et qui doit ce qu'il sait plus . ses exp.rimentations

qu'. ses .tudes de biologie.

Cette nouvelle technique en microscopie permet de mettre en .vidence les Borrelia ainsi que la

plupart des co-infections, autant dans le plasma que dans les cellules sanguines.

Le colorant utilis. .tant . pH neutre et ne contenant ni alcool ni glyc.rine, il n'alt.re pas le sang, et

ne provoque pas l'h.molyse. Ainsi ce que l'on observe est utilisable d'un point de vue clinique

puisque la goutte observ.e reste similaire au sang veineux pendant 20 . 30mn, apr.s quoi le manque

d'oxyg.nation d. . sa situation entre lame et lamelle provoque l'acidification, faisant sortir les

parasites intra-.rythrocytaires (ce qui permet de visualiser toute la charge bact.rienne sanguine),

puis le processus de coagulation survient.

Avant ces derniers stades, l'.tat de d.veloppement actuel des Borrelia et des autres bact.ries (coinfections

.ventuelles) est clairement visible, ainsi que les possibles macromol.cules qui sont la

signature .vidente d'un Leaky Gut Syndrome (LGS), ou syndrome de perm.abilit. intestinale.

La microscopie optique sur sang frais vivant devient ainsi un excellent outil d'analyse, et est depuis

2016 approuvé comme meilleur outil de diagnostic par le CDC (Centre for Disease Control, USA).

En effet, gr.ce . ce simple test on peut savoir s'il y a maladie auto-immune, inflammation

chronique, borr.liose de lyme (et . quel stade), si le plasma est acide ou alcalin, si l'intestin est

perm.able, s'il y a des co-infections, quantifier et qualifier le syst.me immunitaire, etc.

Une bonne partie de ce que vous lirez ici est inconnue des m.decins. Cet ouvrage sera sans doute

r.fut. et violemment attaqu. car il remet en question les dogmes .tablis suivants:

- . Lyme chronique n'existe pas .,

- . le sang est st.rile .,

- . on ne peut pas voir Borrelia au microscope .,

- . Lyme se gu.rit en 15 jours d'antibiotiques ....

De plus, ce travail apporte des .l.ments nouveaux, tels que :

- Borrelia, ne suffit pas pour avoir la maladie de Lyme,

- on ne peut pas .radiquer compl.tement Borrelia mais la faire r.gresser au stade kystique pour

devenir porteur sain asymptomatique tant que le sang sera alcalin,

- un traitement curatif possible avec un simple anti-parasitaire,

- l'importance du LGS et des candidoses dans le d.veloppement de cette maladie,

- l'influence des variations de pH sanguin...

 

 

Table des matières: 

I/ÉTAT DES LIEUX page 5

1/ Une épidémie mondiale

2/ Une bactérie mutante et résistante

3/ Des symptômes multiples et trompeurs

4/ Un dépistage faussé

5/ Un déni de la médecine officielle

6/ Vers un nouveau scandale du sang contaminé ?

II/DÉPISTAGE ET TESTS page 10

1/ Quels moyens de dépistage officiels ?

2/ Quelles alternatives à l'ELISA et au Western Blot ?

3/ Tests alternatifs au LTT, à la sérologie de Lyme, à l'ELISA et au WB

4/ La liste de Burrascano

III/ LES CAUSES POSSIBLES DE LA MALADIE DE LYME page 15

1/ Une immuno-dépression

2/ Le Leaky Gut Syndrome (hyper perméabilité intestinale)

3/ Candida albicans

4/ Un microbe inconnu... ou pas

5/ En conclusion

IV / LES CO-INFECTIONS page 20

1/ Babesia et Theileria

2/ Bartonella

3/ Rickettsia

4/ Ehrlichia / Anaplasma

5/ Chlamydia

6/ Mycoplasma

7/ Entamoeba

8/ Giardia

9/ Helminthes (nématodes, cestodes, filaires...)

 

V/LA PRÉVENTION page 24

 

VI / LES TRAITEMENTS DE LA MALADIE DE LYME page 24

1/ Les traitements naturels

a) les H.E

b) les pr. et pro-biotiques

c) autres rem.des ou aides

2/ Les traitements par ATBs

a) ce qu'il faut savoir

b) les traitements ATBs ayant fait leurs preuves

c) importance du mode puls.

d) importance d'une action intracellulaire

e) pour compliquer le tout

f) en conclusion sur les traitements ATBs

g) traitements pr.conis.s par l'association France Lyme

h) la r.action de Jarisch-Herxheimer

3/ Le traitement en monographie NTZ

a) premi.re .tape, le test de provocation (TP)

b) surveiller la r.action d'Herxheimer

c) traitement, posologie, pr.cautions, effets

d) effets constat.s lors de l'.tude clinique (dans plus de 90% des cas)

 

VII / LE SOUTIEN DU TERRAIN ET DU SI page 33

1/ Compléments alimentaires

2/ Électro-thérapie (PEMF)

 

VIII/ UN TRAITEMENT ANTALGIQUE DE LYME (LDN) page 35

1/ Action / effets / précautions d'emploi / incompatibilités

2/ Préparation du LDN

3/ Posologie

 

IX/ COMPRENDRE LE FONCTIONNEMENT DU SI page 38

1/ Les lymphocytes, SI inné et SI adaptatif

2/ Les organes du SI

a) la rate

b) les organes lympho.des secondaires

c) les amygdales

d) les poumons

e) le foie

f) le cerveau

g) l’estomac

 

X / L'ASPECT PSYCHOLOGIQUE DE LA MALADIE DE LYME page 41

1/ les stress originels infantiles

2/ les stress réactivateurs

3/ Les conséquences à l'âge adulte

 

 

 

 

Le problème que pose la maladie de Lyme et d'autres maladies auto-immunes illustre . lui seul le

non-sens d’un syst.me de sant. ne donnant voix qu'. la m.decine allopathique pour un traitement

uniquement symptomatique et sans consid.ration du terrain.

Syst.me ne reconnaissant pas les droits des contribuables de la s.curit. sociale, sous pr.texte qu’.

ses yeux cette maladie n’existe pas sous sa forme chronique, et transformant en .pid.mie -voire en

pand.mie- une maladie qui n’aurait pas d. nous inqui.ter outre mesure compte tenu des

connaissances globales dont les scientifiques disposent.

L’aveuglement ainsi entretenu par la dictature de Big Pharma pourrait d’ailleurs .tre d.j. . l’origine

d’un nouveau scandale du sang contamin., puisque les tests de d.pistage pratiqu.s en France

s’av.rent insuffisants dans pr.s de 70% des cas, et qu'aucun d.pistage de Borrelia et de ses coinfections

courantes n'est effectu. sur les dons du sang (Syphilis est le seul spiroch.te recherch.).

 

I / ÉTAT DES LIEUX

1/ Une épidémie mondiale :

La maladie de Lyme, ou borr.liose de Lyme, est en plein essor, non seulement en Europe et aux

USA mais aussi en Alaska et au Canada.

Si l’on en croit le Docteur Jean-Pierre Willem, .pid.miologiste de renom :

. Pr.sente dans 65 pays, elle est devenue la plus fr.quente de toutes les maladies vectorielles

transmises . l'Homme dans l'h.misph.re nord. .

Selon le CDC (Center for Disease Control, USA), elle a en 2009 d.pass. le VIH (Virus de

l'Immunod.ficience Humaine) en incidence et elle est la 7.me maladie la plus d.clar.e aux .tats-

Unis où  autrefois cantonn.e au nord-est, elle continue . gagner du terrain.

En 2010, neuf .tats du Nord ont d.clar. 66 % des cas, les 34 % restants .tant d.clar.s dans le reste

du pays o. l'augmentation du nombre de cas a .t. de 10 % en deux ans (2008-2010).

Une .tude de janvier 2014 sugg.re fortement une transmission par voie sexuelle, mais on manque

de preuves scientifiques . ce sujet.

L’institut Pasteur .value entre 12 000 et 15 000 le nombre de nouveaux cas par an.

Mais puisque cette maladie ne fait pas partie des maladies . . d.claration obligatoire ., il est

relativement facile pour les pouvoirs publics d’en minimiser les r.sultats.

Or pour les associations comme . Lyme Sans Fronti.res ., ce chiffre est pourtant tr.s en-de.. de la

r.alit., faute de tests diagnostiques fiables, de formation des m.decins et d’information du public.

C’est ainsi qu’en Allemagne on recenserait 60 000 . 100 000 nouveaux cas par an, et selon le Dr

Petra Hopf-Seidel . Pr.s de 800 000 Allemands seraient infect.s. .

Il est donc clair que le diagnostic clinique et biologique de la maladie de Lyme est un fiasco pour la

m.decine moderne, tant les sympt.mes multiples et vari.s font avancer le corps m.dical en terra

incognita.

 

Cette maladie am.ne effectivement de nombreux patients . se plaindre . la fois de troubles :

→ inflammatoires,

→ neurologiques,

→ musculaires,

→ cutan.s,

→ articulaires…

Face auxquels l’allopathie se retrouve souvent impuissante puisqu’elle ne peut ni les traiter

isol.ment, ni en trouver la source.

2/ Une bactérie mutante et résistante :

Il existe une centaine de souches de Borrelia d.couvertes .

ce jour, dont une trentaine ont .t. .tudi.es, et cinq sont des

pathog.nes av.r.s pour l’humain. Un nombre significatif

de souches n'ont pas encore .t. .tudi.es, et de nouvelles

souches sont r.guli.rement d.couvertes (par exemple en

2001 en Chine, et en 2009 aux USA).

Or, en fonction de l'esp.ce et de la souche de Borrelia . l’origine de la maladie ainsi que des coinfections,

les sympt.mes peuvent s’av.rer .tre tr.s diff.rents les uns des autres.

De plus, les Borrelia peuvent muter rapidement dans des formes qui .chappent au SI (syst.me

immunitaire) et aux ATBs (antibiotiques), (formes kystiques et biofilms notamment).

De cette mani.re, elles restent latentes et sont capables de se re-d.velopper tr.s agressivement apr.s

une phase d'apparente gu.rison.

On distingue clairement au microscope les formes spiroch.tes, blebs, en . collier de perles ., et

kystiques qui sont pr.sentes dans le plasma et les .rythrocytes, il existe m.me une forme CWD.

 

 

Cette bact.rie a le pouvoir de p.n.trer tous les tissus et organes du corps.

Elle peut .galement se r.fugier dans les articulations ou les os et affecter tous les syst.mes, dont le

syst.me nerveux central, qu'elle affectionne particuli.rement : il est alors question de neuroborr.liose.

Il se peut que Borrelia soit porteuse d'une neuro-toxine.

M.me la barri.re h.mato-enc.phalique n'est pas suffisante pour arr.ter cette bact.rie ni les toxines

qu’elle produit et qui intoxiquent les malades . petit feu.

De plus, elle est le seul organisme dans tout le monde animal connu . ne pas utiliser le fer pour sa

croissance et duplication (le fer .tant le ciment des prot.ines) : elle utilise le mangan.se . la place.

Lorsque le r.flexe ferriprive est enclench., Borrelia ne dispara.t donc pas et on se retrouve an.mi..

3/ Des symptômes multiples et trompeurs :

Il est avant tout fondamental de diff.rencier la borr.liose en phase aigu. survenue apr.s une piq.re,

se r.v.lant .tre assez proche des sympt.mes de la grippe, de la borr.liose chronique.

Cette seconde phase d’infection rev.tira quant . elle des formes bien diff.rentes, principalement en

raison de son effet inhibiteur du syst.me immunitaire, ainsi que de l'inflammation qu'elle provoque.

Dans ce cas l’infection par Borrelia sera non seulement libre d’.voluer, mais elle ouvrira aussi la

porte . d’autres pathog.nes comme les bact.ries, virus, protozoaires et autres parasites.

 

 

Lorsque les Borrelia agissent avec d'autres pathogènes, on parle alors de co-infections.

Bien que les sympt.mes de la borr.liose de Lyme soient aussi nombreux que vari.s, on peut

observer trois grandes cat.gories :

→ La Lyme arthritique, qui atteint les articulations, cartilages et muscles.

→ La Neuroborr.liose, parfois appel.e . neuro-lyme ., qui atteint le syst.me nerveux central.

→ L'Acrodermatite Chronique Atrophiante ou (ACA), qui atteint la peau et les muqueuses, y

compris les muqueuses internes comme la muqueuse intestinale (LGS).

Selon l’Association France Lyme les principaux sympt.mes de la maladie de Lyme sont :

→ fatigue,

→ asth.nie profonde, avec ou sans relation avec des efforts,

→ syndrome grippal, avec ou sans fi.vre,

→ migraines,

→ difficult. de concentration, perte de m.moire, vertiges, confusion,

→ douleurs le long des trajets nerveux,

→ douleurs articulaires, arthrites,

→ paralysie faciale,

→ engourdissement des membres, frissons, myalgies,

→ tremblements des membres . l’effort, fasciculations,

→ nuque raide, syndrome m.ning.,

→ troubles du rythme cardiaque

→ EHS (.lectro-hyper sensibilit.)…

(plus de sympt.mes dans la liste de Burrascano au chapitre II / 4)

4/ Un dépistage faussé :

Pour bien comprendre pourquoi les tests de d.pistage propos.s en France sont inadapt.s, il faut

avant tout savoir que leur seuil de d.tection est trop .lev., permettant ainsi de reconna.tre seulement

une minorit. des personnes touch.es.

Ainsi, sans le savoir, beaucoup de gens sont porteurs de la maladie

pendant des années avant de pouvoir obtenir un diagnostic correct.

Les sympt.mes sont d'ailleurs tellement vari.s, en fonction de la r.ponse immunitaire de chacun,

que cela augmente encore la difficult. d'.tablir un diagnostic.

Comme nous l’expliquent les docteurs Dietrich Klinghardt et Richard Horowitz :

. Certains patients voient leur immunit. s'effondrer, d'autres d.veloppent une immunit. cellulaire

sur-stimul.e ou hyper-activ.e, provoquant une cascade auto-immune pouvant .voluer jusqu'aux

maladies auto-immunes invalidantes.

De fa.on g.n.rale, la borr.liose chronique peut .voluer vers des probl.mes articulaires,

dermatologiques, cardiaques et neurologiques pouvant .tre invalidants et difficiles . traiter. .

Le diagnostic de la maladie n'est donc pas ais., aussi bien . cause de sa mauvaise connaissance tant

par les malades que par les m.decins, mais aussi en raison des tr.s nombreux aspects qu'elle peut

pr.senter.

 

 

L. o. plus probablement se cache une borr.liose, on a vite fait de diagnostiquer :

→ mononucl.ose

→ fibromyalgie,

→ SFC (syndrome de fatigue chronique),

→ STH (syndrome thyro.dien d’Hashimoto),

→ SEP (scl.rose en plaque),

→ spondylarthrite ankylosante,

→ SLA (scl.rose lat.rale amyotrophique),

→ maladie d'Alzheimer

→ douleurs articulaires,

→ PR (polyarthrite rhumato.de),

→ lupus,

→ cystite interstitielle,

→ probl.mes psychiatriques,

→ ou encore autisme…

Toutefois la non-reconnaissance de la maladie n’est malheureusement pas l’unique probl.me.

Pour diagnostiquer une maladie de Lyme, votre m.decin traitant demandera s.rement des analyses

de sang, particuli.rement la s.rologie de Lyme, afin de chercher des anticorps contre la Borrelia.

Cette m.thode . globale . est sens.e donner une r.ponse quantitative de l’ensemble des anticorps

IgG ou IgM retrouv.s dans le sang, mais ce test, appel. . ELISA ., ne permet que de d.tecter la

borr.liose en phase aigüe, et non pas en phase chronique, ou latente.

Certains sp.cialistes estiment d’ailleurs que le taux de faux n.gatifs . ce test pourrait atteindre 55%.

Donc si les r.sultats s.rologiques sont concluants il y a de fortes chances pour que vous soyez

atteint, mais s’ils sont n.gatifs, cela ne veut pas dire que la maladie n’est pas pr.sente.

Et dans les faits, des milliers de malades mal diagnostiqu.s sont ballott.s de m.decins en m.decins,

de m.dicaments chimiques iatrog.nes en psychoth.rapies inadapt.es, et la plupart du temps pris

pour des hypocondriaques r.calcitrants.

 

 

5/ Un déni de la médecine officielle :

Bien que les m.decines naturelles aient abondamment prouv. leur efficacit. dans ce domaine, tout

th.rapeute, allopathe ou naturel, ayant propos. un soutien non conventionnel est imm.diatement

radi. ou interdit.

Malgr. la mobilisation de plusieurs associations de patients et de m.decins (Lyme Sans Frontières,

France Lyme, Réseau Borréliose…) et les r.sultats de grands chercheurs, les hautes instances de

sant. refusent de revoir leur position, et n’ont de cesse de pers.cuter assid.ment les th.rapeutes

naturels et laboratoires cherchant sinc.rement . aider les patients.

Certains m.decins allopathes .tant sortis du cadre du protocole habituel en recourant aux m.decines

naturelles, se sont syst.matiquement retrouv.s sanctionn.s pour avoir eu recours . des m.thodes

non admises officiellement.

Bernard Christophe, pharmacien dipl.m. ayant .tudi. la maladie de Lyme pendant 30 ans, a cr.. le

Tic-Tox, cocktail d'H.E (Huiles Essentielles) tr.s efficace : son laboratoire a .t. assez rapidement

ferm. et le Tic-Tox interdit en France.

Viviane Schaller, form.e aux techniques de d.pistage allemandes ayant utilis. le test WB (Western

Blot) avec une sensibilit. plus pouss.e accordant davantage de fiabilit. au proc.d., a vu son

V2.7 MAJ. MARS 2017

laboratoire ferm. et a .t. r.cemment condamn.e par le Conseil de l'Ordre parce qu’elle obtenait

trop de r.sultats positifs !

Aussi incroyable que cela puisse para.tre, au lieu de s’attirer les bonnes gr.ces des services de sant.

pour un taux de r.ussite largement au-dessus de la moyenne, elle a r.colt. . la place les foudres des

r.f.rents nationaux de la borr.liose qui ont imm.diatement fait interdire cette m.thode.

Pendant ce temps, les conclusions de nombreux sp.cialistes convergent sur le fait que ce d.ni

emp.chant les recherches et avanc.es scientifiques, et qui maintient l’ignorance du public, nous

m.ne droit . une pand.mie.

Si en Allemagne la maladie est totalement identifi.e, et que les USA et le reste du monde

franchissent enfin le premier pas en reconnaissant . leur tour l'existence de sa forme chronique, la

France demeure fig.e sur ses positions de fa.on totalement irrationnelle, voire archa.que, en

continuant purement et simplement . la nier.

6/ Vers un nouveau scandale du sang contaminé ?

Bien que les institutions de sant. restent sourdes, aveugles et muettes, depuis quelques ann.es de

nouvelles donn.es ont fait leur apparition.

On a pris par exemple conscience que la tique, principale porteuse des bact.ries, n’est finalement

pas la seule dans la mesure o. d’autres insectes se nourrissant de sang peuvent eux aussi transmettre cette maladie . l’humain.

On recense notamment :

→ les araign.es,

→ les moustiques,

→ les poux,

→ les puces,

→ les taons, ao.tats et quasiment tous les autres insectes macrophages.

Ainsi, c’est vraisemblablement une grande partie de la population qui peut .tre en contact avec

l’une ou l’autre de ces esp.ces et non pas uniquement, comme on aurait pu le croire, uniquement

ceux vivant . la campagne ou au contact d’animaux domestiques, bien qu’il soit connu que les

chasseurs, les forestiers et les promeneurs en for.t soient souvent les plus atteints.

Par ailleurs, la présence d’un animal domestique à la maison augmenterait tout de même le

risque d’environ 30% mais pas seulement, puisqu’il est arriv. . la bact.rie de trouver refuge dans

des steaks mal cuits.

On a .galement not. que m.me lorsque les sympt.mes n’apparaissent pas imm.diatement, ils

peuvent survenir des ann.es voire des d.cennies apr.s infection.

Enfin, les Borrelia sont en mesure de rester enkyst.es dans les cellules sanguines sans que l’on soit

capable de les d.tecter, pouvant ainsi .tre transfus.es chez une personne non porteuse et resurgir

bien plus tard quand les conditions seront plus favorables . leur d.veloppement.

Ce qui, .tant donn.e la popularit. des dons de sang et le manque de pr.cautions adapt.es en la

mati.re, pourrait probablement d.boucher sur un nouveau scandale du sang contamin..

 

 

 

 

laboratoire ferm. et a .t. r.cemment condamn.e par le Conseil de l'Ordre parce qu’elle obtenait

trop de r.sultats positifs !

Aussi incroyable que cela puisse para.tre, au lieu de s’attirer les bonnes gr.ces des services de sant.

pour un taux de r.ussite largement au-dessus de la moyenne, elle a r.colt. . la place les foudres des

r.f.rents nationaux de la borr.liose qui ont imm.diatement fait interdire cette m.thode.

Pendant ce temps, les conclusions de nombreux sp.cialistes convergent sur le fait que ce d.ni

emp.chant les recherches et avanc.es scientifiques, et qui maintient l’ignorance du public, nous

m.ne droit . une pand.mie.

Si en Allemagne la maladie est totalement identifi.e, et que les USA et le reste du monde

franchissent enfin le premier pas en reconnaissant . leur tour l'existence de sa forme chronique, la

France demeure fig.e sur ses positions de fa.on totalement irrationnelle, voire archa.que, en

continuant purement et simplement . la nier.

6/ Vers un nouveau scandale du sang contaminé ?

Bien que les institutions de sant. restent sourdes, aveugles et muettes, depuis quelques ann.es de

nouvelles donn.es ont fait leur apparition.

On a pris par exemple conscience que la tique, principale porteuse des bact.ries, n’est finalement

pas la seule dans la mesure o. d’autres insectes se nourrissant de sang peuvent eux aussi transmettre cette maladie . l’humain.

 

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XIII / SOURCES - BIBLIOGRAPHIE

– Pr Seignalet et Joyeux : « L'alimentation ou la 3ème médecine »

– Pr Peronne : « Critical reviews on studies trying to evaluate the treatment of Lyme disease »

(2015), « La vérité sur la maladie de Lyme » (2016)

– Dr Horowitz : « Soigner Lyme et les maladies chroniques inexpliquées » (2013)

– Dr Petra Hopf Seidel : « La borréliose chronique et persistante » (07/2011), « Traitements

actualisés de la borréliose chronique » (2013)

– Dr Eva Sapi & al : « Evaluation of in-vitro antibiotic susceptibility of different

morphological forms of Borrelia burgdorferi » (05/2011), « Culture and identification of

Borrelia spirochetes in human vaginal and seminal secretions » (2015)

– Dr Klinghardt : « The treatment of Lyme disease in the ASD child » (04/2010), « A deep

look beyond Lyme » (2011)

– Dr Charles Ray Jones : « Gestational Lyme » (ILADS 2011)

– Kenneth B. Singleton : « The Lyme disease solution » (2008)

– Dr Scott Taylor : « Dr Taylor's Remedi for healthy living », « Lyme Disease report » (2004)

– Dr Burrascano : « Advanced topics in Lyme disease » (2008)

– Dr Alan Mc Donald : « Round forms of Borrelia burgdorferi , survival of the Microbe and

Attack Models » (2012 presentation, University of New Haven)

– Ann F. Corson : « Protomyxzoa rheumatica, clinical observations and experience » (2012)

– Hongkuan Deng : « Mécanismes de persistance de Bartonella dans son hôte réservoir »

(2011)

– Willy Burgdorfer : « Survie dans des conditions hostiles , stratégie de variation

morphologique de la Borrelia burgdorferi & et autres Spirochètes » (2011)

– Edward D. Delamater & al : « Studies on the life cycle of spirochetes » (1951)

– P. Scott Alban & al : « Serum-starvation-induced changes in protein synthesis and

morphology of Borrelia burgdorferi » (2000)

– Dr Schaller : «Checklists for Bartonella, Babesia and Lyme disease » (2012)

– Dr Lorenz : « La borréliose et ses symptômes neuro-psychiatriques » (2010)

– Dr C. Bransfield : « Spirochete in brains » (2008)

– Markus Arnold & al : « The effect of Nitazoxanide on erythrocytes » (2013)

– Nitish Singh, S. Narayan : « Nitazoxanide, a broad spectrum antimicrobial » (2011)

– Elaine A. Moore & S. Wilkinson : « The promise of Low Dose Naltrexone therapy » (2009)

– LDN Research Trust – Dickson : « LDN French Fact Sheet » (2015)

– Dr Pradeep Chopra : « LDN and chronic pain » (2016)

– Linda Elsegood : « The LDN book » (2016)

– Neha Jariwala & al : « Lyme disease, a bioethical morass » (2016)

– Dr Amandine Godard : « Intégration de la Micro-Immunothérapie dans la stratégie

thérapeutique de la maladie de Lyme. » (th.se)

– Dr Francisca Moran Cadenas : « Identification de Borrelia sp, agent de la borréliose de

Lyme, et de l'ADN de l'hôte chez la tique Ixodes ricinus et étude de sa phénologie en

fonction de l'altitude en Suisse » (th.se, 2007)

– Christian Melauna & al : « Occurrence of Borrelia burgdorferi s.l. in different genera of

mosquitoes (Culicidae) in Central Europe » (2015)

– Dr Philippe David : « L'équilibre acido-basique » (03/2010)

– Dr Georges Mouton : « Ecosystème intestinal et santé optimale » (2004)