MAIS EN ATTENDANT ...
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Chère lectrice, cher lecteur, Vous vous sentez souvent fatigué(e). Ou alors vous souffrez régulièrement de douleurs articulaires, de craquements du dos et du cou, de maux de tête, de problèmes de mémoire. A moins que vous ne soyez sujet à des troubles d’humeur ou à des phases de dépression. Ce n’est peut-être pas grand-chose. Si vous allez voir votre médecin, il est probable qu’il vous prescrira des antidouleurs, des antidépresseurs et qu’il signera son ordonnance en vous suggérant d’aller voir un psy. Mais il se peut que ce soit beaucoup plus grave. Et que votre médecin passe à côté d’une maladie discrète, presque invisible mais pourtant bien réelle, aux conséquences qui peuvent être dramatiques. La maladie de Lyme.
A l’origine, la maladie de Lyme est causée par les bactéries du genre Borrelia, qui se transmettent par les piqûres d’insecte, et en particulier les tiques. Les tiques sont des insectes qui prolifèrent actuellement de façon dramatique à cause de la chaleur hivernale. Alors qu’elles se limitaient il y a dix ans aux forêts de l’est de la France, de l’Allemagne et du nord de la Suisse, elles infestent aujourd’hui des zones immenses du territoire, sans doute bientôt la totalité. C’est une catastrophe pour la santé publique. Une simple piqûre et, si la tique vous transmet la maladie, les bactéries s’infiltrent dans tous vos organes, tous les tissus de votre corps, y compris les os. Elles attaquent ainsi tous les systèmes, dont votre système nerveux et votre cerveau, menant à des lésions graves très variées qui provoquent douleurs insupportables, paralysies, fatigues chroniques accablantes, troubles psychiatriques… Seulement lorsque l’infection devient chronique, la maladie de Lyme peut être confondue avec quasiment toutes les maladies connues en médecine, et des dizaines de milliers de personnes seraient ainsi mal diagnostiquées. Comme vous allez le voir dans le numéro de février de Plantes & Bien-Être, il existe pourtant deux méthodes efficaces et reconnues pour savoir si vous avez la maladie de Lyme : les tests Elisa et Western Blot [1]. Mais c’est aussi (et surtout) pour vous faire découvrir une troisième méthode de diagnostic, particulièrement efficace, que nous avons fait appel à l’un des plus grands spécialistes mondiaux de la maladie de Lyme, le docteur Richard Horowitz. Médecin interniste (spécialiste des diagnostics difficiles et des maladies auto-immunes) à Hyde Park, dans l’Etat de New York, le Dr Horowitz a en effet traité et guéri depuis 30 ans plus de 12 000 patients atteints de la maladie de Lyme ! Sa technique s’applique en particulier aux cas les plus difficiles à détecter, comme ceux qui sont liés à la rickettsiose et la bartonellose, dont les manifestations peuvent se confondre avec d’autres pathologies. Il vous faudra répondre à un questionnaire très précis (symptômes, fréquence des symptômes, état de santé général etc.) et en fonction du résultat que vous obtiendrez, vous saurez quelle est la probabilité que vous ayez contracté la maladie.
L’autre partie de ce dossier concerne bien sûr le protocole pour se soigner lorsqu’on est atteint par la maladie de Lyme. Vous allez découvrir dans le numéro de février de Plantes & Bien-Être que l’usage de certaines plantes médicinales est vigoureusement recommandé dans le traitement de la maladie de Lyme. En particulier, le Dr Horowitz détaille un protocole qui a été efficace pour 70 % de ses patients ! 30 à 60 gouttes par jour d’un mélange de cumanda, de banderol, d’enula et de samento (griffe du chat). L’armoise annuelle, elle, est reconnue pour agir sur la borréliose mais aussi sur la babésiose. Un autre protocole étonnant est celui de Buhner qui comprend l’andrographis, la renouée du Japon, la griffe du chat, l’astragale de Chine et l’éleuthérocoque. Enfin, vous allez voir l’importance du soutien à l’immunité, avec un extrait de champignon qui augmente les lymphocytes T (destructeurs de cellules infectées) de près de 300 % ! Et avant de refermer votre dossier, notez précieusement le conseil du Dr Horowitz en cas de morsure de tique. Un simple réflexe peut considérablement réduire le risque de contamination. Voici un autre sujet, très important lui aussi, qui est au sommaire du numéro de février Plantes & Bien-Être :
La dépression est pour moi une des pires maladies. Elle vous prive de l’envie de vivre. Le problème est que la dépression s’installe souvent progressivement. Au départ, vous vous sentez simplement triste, mélancolique, fatigué. Vous pensez que votre état est normal, passager : « chacun connaît des périodes de haut et de bas », pensez-vous. Mais votre état bientôt s’aggrave et vous finissez par perdre toute joie de vivre et même tout attachement à la vie. Votre vie devient un enfer, mais vous pesez aussi lourdement sur le moral des autres. Votre entourage souffre, il est entraîné lui-aussi dans l’enfer de la maladie. Car il s’agit bien d’une maladie, aussi clairement que le rhume, la grippe ou le cancer. On attrape la dépression comme un virus ou un microbe. Mais beaucoup de personnes frappées par la dépression refusent de reconnaître qu’elles sont malades. C’est un immense problème, c’est même sans doute l’obstacle principal au traitement de la dépression. Vous trouverez dans ce numéro de Plantes & Bien-Être la liste des symptômes caractéristiques de la dépression : si 5 à 7 d’entre eux vous correspondent, il est probable que vous souffrez de dépression légère. Il n’y a aucune honte à avoir. Et il ne faut surtout pas vous inquiéter. Au contraire, c’est une bonne nouvelle de reconnaître la réalité : « Notre corps aime la vérité » disait magnifiquement le Dr David Servan-Schreiber. Or vous allez voir que la phytothérapie (médecine par les plantes) est LE traitement à privilégier systématiquement, car ses solutions sont efficaces [2]. Des plantes contre la dépression ? Encore beaucoup de personnes considèrent que soigner la dépression par les plantes ce n’est pas crédible. Mais c’est pourtant la science qui le démontre, à partir d’une analyse qui, vous allez le voir, est extrêmement rigoureuse. Vous excuserez le côté un peu « technique » de mon propos, mais il est indispensable pour comprendre comment les plantes peuvent agir effectivement sur notre moral, en régulant les neuromédiateurs cérébraux (sérotonine, dopamine, noradrénaline). Les chercheurs avaient en effet déjà constaté de faibles niveaux d'un produit du métabolisme de la sérotonine, l'acide 5-hydroxyindoleactique (5-HIAA), chez les personnes en proie à la dépression. De la même façon, on a trouvé une faible concentration en dopamine dans les synapses (zones de contact et de transmission de l’influx nerveux entre deux neurones) dans les dépressions de type mélancolique, état où l’on constate une baisse de l’activité motrice, de la motivation et de l’initiative. La noradrénaline, en concentration insuffisante, est associée à des comportements de détachement social, caractéristiques de l’état dépressif. Vous allez découvrir que quatre plantes médicinales sont reconnues comme ré-équilibrantes des neuromédiateurs déficitaires impliqués dans la dépression :
La rhodiole est également efficace en période de burn-out >et semble constituer un excellent traitement alternatif de la dépression, d’après une étude récente publiée dans la revue scientifique Phytotherapy par l'école de médecine de l'Université de Pennsylvanie. Vous trouverez dans le dossier de Plantes & Bien-Être un tableau de synthèse permettant d’identifier la plante la plus adaptée en fonction des différentes situations (stress, dépression apathique, dépression réactionnelle etc. ). Avec, à chaque fois, la forme de la plante à privilégier, la posologie, et les points d’attention à suivre scrupuleusement lors du traitement (par exemple ne jamais associer de médicament avec la prise de millepertuis, éviter certaines plantes chez la femme enceinte etc.). Comme dans chaque édition, ce numéro de Plantes & Bien-Être vous fait découvrir bien sûr l’actualité des laboratoires de recherche de pointe, mais aussi le savoir précieux hérité de traditions ancestrales. Il faut dire que la science elle-même reste aujourd’hui encore en admiration devant certains mystères de la nature, ainsi qu’en témoignent les dernières recherches sur une plante que nous avons tous dans notre tisanière et que nous croyons bien connaître :