Où l'on apprend, en page 34 de Télérama de la semaine, que BASF nous débarasse des moustiques avant l'été.
Soit !
Mais que ce même hebdo fasse entrer ces dangereux chimistes dans ses colonnes publicitaires - (eh oui BASF n'a pas fait que des cassettes !) - me donne à moi envie de fuir encore plus vite que devant une armée de moustiques.
Au revoir Télérama, je t'aimais bien mais voilà je n'apprécie pas ta pseudo-culture auréolée de pesticides.
Que tant de lecteurs, innocemment sans doute, collaborent à cette guerre invisible- qui stérilise à vitesse grand V... abeilles, plantes et bientôt humains- me fait... du mal.
Pas vous ?
NB : Télérama, à mon mail, a répondu le jour-même. Assez étonnée je fus. Mais tout cela pour me dire qu'ils .. étaient "indépendants par rapport à la pub de leur magazine". Ce à quoi j'ai répondu qu'ils pouvaient alors tout aussi bien insérer de la pub pour "Minute" ou "Monsanto" puisque la différence entre BASF et ceux-ci est somme toute infime.
Comment peut-on cautionner ces criminels qui passent à chaque fois entre les mails du filet. Et pourtant c'est du gros "gibier" ? Tout cela me dépasse ! Pas vous ? Je finis mon abonnement annuel à Télérama et je leur rends mon tablier. Je suis bien déçue. Pour eux surtout.
On ne va pas se mettre la rate au court-bouillon pour "si peu"...
-je sais pas vous...
mais ...
quand même !
Marie Duval - Paris